la suite

Mais c'est comme ça que je t'aime, finalement : entière dans ta colère, oubliant derrière toi l'usage de ton unique neurone, ma bobone !
C'est alors qu'un agent de la force publique s'approcha de ce couple bien surprenant. Bizarre, il avait une brosse métallique dans sa main
IL LEUR DEMANDA LEURS PAPIERS

allez débrouillez vous avec ça

L'agent, une brosse à la main, LEUR DEMANDA LEURS PAPIERS.

Offusqué, notre Bernard lui répondit : "cher monsieur l'agent, ne nous reonnaissez-vous donc pas ? Nous, les pipoles, les beaux, les intelligents ? Moi Nanard, et elle, Dombasle ? Allez, allez, circulez maintenant, et laissez-nous tranquilles, LAVER NOTRE LINGE SALE DEVANT LES GENS"

(Et voilà Alix ...)

Laissez-nous laver notre linge sale en publique, monsieur l'Agent !

Ma tendre épouse n'a pas le SENS DE L'HUMOUR CE MATIN, ces hormones lui jouent des tours. Elle a des sautes d'humeurs et manque d'humour, d'où ces JOUTES VERBALES AGACANTES pendant CES PERIODES !

Ma tendre épouse n'a pas le SENS DE L'HUMOUR CE MATIN, ses hormones lui jouent des tours. Elle a des sautes d'humeurs et manque d'humour, d'où ces JOUTES VERBALES AGACANTES pendant CES PERIODES !

Allez ma mémé décrépie, respirez lentement, et calmez-vous.
Et maintenant, prenez mon bras, que je vous conduise chez nous :
un bon lait chaud, votre chat sur les genoux,
vous retrouverez vos esprits;
et ENFIN M'AIDEREZ A CHASSER L'ENNUI.

Et maintenant, prenez mon bras, que je vous conduise chez nous : votre chat sur les genoux, un bon lait chaud, et enfin m'aiderez à chasser l'ennui, vous retrouverez vos esprits, car ensemble nous nous souviendrons de nos doux souvenirs, votre joli et tendre sourire me donnant cette envie irrépressible de VOUS SERRER DANS MES BRAS ET DE VOUS COMPTER FLEURETTE.

Vous serrer dans mes bras et vous compter fleurette, c'est bien tout ce que je souhaite, ma petite pépète.

Venez donc vous oublier tout contre moi, vous enfouir dans le parfum de mon corps, pour qu'ENSEMBLE, JAMAIS L'AMOUR NE MEURRE.

Venez donc vous oublier tout contre moi, vous enfouir dans le parfum de mon corps, pour qu'ensemble, jamais l'amour ne meure.... ce parfum qui émane de vous et qui, depuis le premier jour, me lie à vous à jamais. Ce corps sur lequel les ANNÉES N'ONT EU AUCUNE PRISE

Ce corps sur lequel les années n'ont eu aucune prise ...

Venez, ma tendre amie, venez me rejoindre dans la chute exquise où nous entrainent notre tendresse, et nos sens amoureux.
Allons, ma Belle de jour, PERDONS-NOUS ENSEMBLE DANS LE LABYRINTHE DE NOTRE AMOUR.

(Pfff, j'ai chaud là ... )

Venez, ma tendre amie, venez me rejoindre dans la chute exquise où nous entrainent notre tendresse, et nos sens amoureux.
Allons, ma Belle de jour, perdons nous ensemble dans le labyrinthe de notre amour, labyrinthe où nous ne nous sommes jamais perdus car tenant ensemble chacun une extrémité de ce FIL SI FRAGILE QUI NOUS A TENU DES LE DEBUT

Ce fil si fragile qui nous a tenus dès le début, entretenons-le, mon Arielle, faisons le grandir, rendons-le plus fort encore, pour que rien ni personne ne puisse le rompre ...
Dans mes bras, mon bel amour, vous serez au chaud et LAISSEREZ AINSI PASSER LA TEMPETE QUI PARFOIS GRONDE DANS VOTRE JOLIE TÊTE.

Dans mes bras, mon bel amour, vous serez au chaud et laisserez ainsi passer la tempête qui parfois gronde dans votre jolie tête. Nos odeurs se mélangeant pour n'en faire qu'une, nos mains cherchant l'autre, nos lèvres MURMURANT CES MOTS CHARMANTS A NOS OREILLES

Nos lèvres murmurant ces mots charmants à nos oreilles, nous basculeront doucement vers ce monde parallèle, où rien d'autre que nous deux ensemble compterait, où TOUT NE SERAIT QUE L'AUTRE ET VOLUPTE ...

Tout ne serait que l'autre et volupté....
Devant tant d'amour chanté, je ne peux que vous laisser, puisque ma présence RISQUERAIT DE GENER

Devant tant d'amour chanté, je ne peux que vous laisser, puisque ma présence risquerait de gêner s'écria t'elle alors offusquée. Mais ma mie lui répondit il, que se passe t'il. Elle eut un sourire tendre et lui dit : MAIS JE VOUS TESTAIS MON BEL AMI

Mais je vous testais mon bel ami, lui dit-elle.
Devant son air interrogateur, elle poursuivit : "trop de mièvrerie tue l'amour. Je préfère SOUFFRIR D'AMOUR, QUE DE MOURIR D'ENNUI !".

Je préfère souffrir d'amour que de mourir d'ennui !
Hum, se dit il, ça me rappelle cette vieille chanson de Julien Clerc "Souffrir par toi, n'est pas souffrir"... Ah ce chanteur, je l'aime bien, et ces spectacles sont si intimistes... et il repensa à CE FAMEUX PATINEUR QUI PATINAIT

Mon ami, mon chéri, c'est cette chanson qui parle de "Ce fameux patineur qui patinait " que vous êtes en train de me fredonner là ? s'étonna doucement notre Ariel, saisie par la surprise.
Elle se perdit dans ses pensées ... puis rougit de bonheur : c'est moi que vous voudriez bien voir auprès de vous, dans mille ans, moi, cette "belle femme aux cheveux blancs" ?
Oh, MON ROUDOUDOU, SERREZ-MOI DANS VOS BRAS, TENDREMENT.